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Si les mères lesbiennes québécoises n’ont plus à se battre pour la reconnaissance légale de leur statut, c’est une histoire bien différente qui se déroule de l’autre côté de l’Atlantique.
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À l'été 1989, le procès Daigle contre Tremblay a ravivé le débat sur l’avortement qui semblait clos à la suite de l’adoption de l’arrêt Morgentaler (1988). Retour sur cet événement.
Quitter son pays de résidence pour le Canada, c’est se mettre en position de fragilité financière pour ces femmes.
Prendre une juste part du problème, trop s’impliquer, ou pas assez : la ligne est mince pour aider efficacement les victimes de violence conjugale !
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Les parents moins nantis profitent peu des mesures qui leur sont pourtant destinées.
Prendre un congé parental chamboule la vie financière. Ce que plusieurs ignorent, c’est que cela affecte aussi l’épargne-retraite !
De plus en plus de jeunes femmes désirent rester sans enfant, mais se heurtent à des barrières dans l’accès à la stérilisation.
Rendre publiques les pratiques de procréation assistée protège aussi bien la mère que l’enfant des complications liées à la grossesse ou à l’accouchement.
La politique familiale du Québec est reconnue comme l’une des plus généreuses et accessibles en Amérique du Nord. Pourtant, à l’époque de sa mise en place, la partie n’est pas gagnée d’avance.
Si le premier accouchement est synonyme d'inconnu et d’anxiété, les accouchements suivants sont, pour plusieurs mères, l’occasion de s’affirmer et de faire entendre leurs besoins.
La coercition reproductive sort peu à peu de l'ombre, mais demeure méconnue malgré ses conséquences sur la santé et le bien-être des femmes qui en sont victimes.
L’accouchement n’a rien d’un moment magique lorsqu’il est question d’évacuation. Au contraire, pour de nombreuses femmes, l’événement est traumatisant, voire aliénant.
Tests de grossesse, échographies, tests de dépistage prénatal : au fil des ans, la technologie entourant la maternité n’a cessé d’évoluer.
De l’annonce de la fausse couche à leur sortie de l’hôpital, les femmes décrivent trop souvent être laissées à elles-mêmes.
Qu’elles soient conjointes, mères, filles ou amies, celles qui prennent soin d’un proche malade ou âgé n’échappent pas au « deuxième shift » qui les attend après le travail.
Jusqu’à une femme sur cinq développe une dépression post-partum dans l’année suivant la naissance. Comment les parents s’expliquent-ils cela ?
Sortir d’une relation violente : plus facile à dire qu’à faire. C’est particulièrement vrai chez les jeunes mères, qui redoutent d’être jugées pour leur maternité précoce et leur monoparentalité.
Les intervenantes — bonne oreille des confidences des femmes — sont souvent tiraillées entre le respect des choix des victimes et la responsabilité de les aider.
Concilier son identité personnelle, celle de parent et celle de partenaire amoureux : où est le mode d’emploi ?
Au milieu du XXe siècle, la vision traditionnelle de l’instruction forme des hommes travailleurs et des femmes au foyer.