J’ai l’ombre de trois pins. Ces rois de mon parterre
Lèvent avec orgueil leurs fronts vertigineux
Au printemps plus d’un nid s’y loge avec mystère
Attiré par l’odeur de leur bois résineux
Ô pins, vous survivrez à mon humble mémoire,
Et quand je dormirai dans l’oubli des vivants,
Que rien ne restera de mon pâle grimoire,
Vous couvrirez mon toit de vos rameaux mouvants. 

Adolphe Poisson (poète), extrait de Mes pins (1902)

 


Quelques repères sur la région

Des membres de la communauté amérindienne des Sokokis (qui prendra l’appellation d’Abénaquis) de la vallée de la rivière du Connecticut, ainsi que ceux du Massachusetts, fondent le village d’Odanak, dans la région du Centre-du-Québec, durant la seconde moitié du XVIIe siècle. La colonisation s’intensifie après la Conquête anglaise et se poursuit jusqu’au XIXe siècle avec l’arrivée de Canadiens français, d’Anglais, d’Écossais et d’Irlandais. Ces différentes communautés, ainsi que celles abénaquises d’Odanak et de Wôlinak, connaissent une croissance démographique soutenue depuis le milieu du XXe siècle.  

Jusqu’au début du XXe siècle, l’économie centricoise est principalement agricole, mais l’exploitation de ressources, comme la coupe du bois, l’exploitation minière et les activités industrielles, se développent. À tel point que Drummondville devient le principal centre industriel du territoire dès la fin des années 1920. 

La croissance de la population de la région ralentit beaucoup à partir des années 1960 et le poids démographique de la MRC de Drummond au sein de la région pèse de plus en plus : près de la moitié de la population du Centre-du-Québec vit aujourd’hui à Drummondville et Victoriaville. Le Centre-du-Québec a longtemps été un territoire sans identité définie. Pourquoi ? Créée en 1997, il s’agit de la région administrative la plus récente. De plus, elle n’a pas donné naissance à une grande agglomération urbaine, comme l’a fait Trois-Rivières en Mauricie, ou Sherbrooke en Estrie. 

Portrait de population

Une croissance à petite vitesse  

La population centricoise croît, mais à un rythme plus lent que celui de l’ensemble du Québec. En effet, selon des prévisions à long terme, elle augmentera de près de 13% entre 2011 et 2036, alors que celle du Québec croîtra de 17,3%. Toutefois, malgré cette augmentation plus faible, toutes les MRC de la région sont en croissance, mais à différents degrés. Par exemple, si la croissance devrait être de 17% dans la région de Drummondville, elle sera d’un mince 0,5% dans la MRC de L’Érable.  

Le grand âge bien présent 

Les différentes MRC de la région. Source: Institut de la statistique du Québec

La population du Centre-du-Québec est légèrement plus âgée que celle de l’ensemble du Québec. En 2017, l’âge moyen y est de 43,5 ans, contre une moyenne québécoise de 42,1 ans.

Portrait des familles  

L’union libre plutôt que le mariage 

L’union libre progresse dans 16 des 17 régions du Québec, et fait un grand pas dans le Centre-du-Québec. Entre 2006 et 2016, la proportion de familles biparentales qui choisissent l’union libre plutôt que le mariage passe de 43% à 59,3% dans la région. À titre comparatif, à l’échelle du Québec, l’union libre est passée de 34,3% à 42,7% pour la même période. Le Centre-du-Québec fait partie des quelques régions où cette proportion se situe 20 points au-dessus de la moyenne québécoise. 

Où sont les enfants? 

Le nombre de familles avec enfant est en baisse dans le Centre-du-Québec. Il chute de 2,4% entre 2006 et 2016, alors qu’il augmente de 1,6% à l’échelle du Québec. À l’intérieur de la région, seule la MRC de Drummond connaît une croissance (+2,5%), alors qu’il décroît de plus de 10% dans L’Érable (-10,3%). 

Monoparentalité moins présente 

La monoparentalité est en hausse et ce, dans l’ensemble de la province Le Centre-du-Québec n’y fait pas exception. La proportion de familles monoparentales est passée de 26,3% en 2006 à 28,5% en 2016, une évolution semblable à celle du Québec où la proportion passe de 27,8% à 29,5% pour la même période. 

Les jeunes à la maison  

Les familles sont relativement jeunes, au Centre-du-Québec! La région est l’une de celles qui comptent le plus de familles avec des enfants mineurs (72 %) à la maison, derrière l’Estrie (72,7 %), l’Abitibi-Témiscamingue (73,1 %) et le Nord-du-Québec (79,1 %). Dans l’ensemble du Québec, un peu moins de sept familles sur dix comptent au moins un enfant mineur (68,5 %) à la maison.1 

Moins de 35 ans, déjà parent  

Sans être parmi les plus jeunes, les parents du Centre-du-Québec sont moins âgés que dans l’ensemble de la province. Plus du quart des familles avec enfants comptent au moins un parent âgé de moins de 35 ans (27,8 %), une proportion plus élevée que celle observée au Québec (22,4 %).  

Familles nombreuses, et ce n’est rien de le dire! 

1,2,3 enfants… et même plus : le Centre-du-Québec est l’une des régions qui comptent le plus de familles nombreuses (trois enfants ou plus à domicile). Alors qu’environ une famille sur six (15,6%) est considérée comme nombreuse au Québec, 17,9% des familles du Centre-du-Québec le sont à coup sûr. L’Estrie (18,2%) et le Nord-du-Québec (31,9%) sont les deux régions qui comptent la plus grande part de familles nombreuses, toutes régions confondues. 

Conditions de vie 

Augmentation du revenu d’emploi : une question d’interprétation 

La région possède l’un des revenus d’emploi médian le plus bas du Québec, mais il augmente plus rapidement qu’ailleurs dans la province. En effet, à 37 808$, il se situe en dessous du revenu médian de l’ensemble du Québec (41 125$). Une tendance qui s’observe d’ailleurs dans toutes les MRC de la région. Dans la course au revenu d’emploi, la région se classe 14e sur les 17 régions administratives. 

Cela dit, le revenu médian des 25-64 ans du Centre-du-Québec connaît l’une des plus fortes progressions de l’ensemble du Québec (+4,1% entre 2016 et 2017).  

Des couples au maigre revenu  

Les coffres des couples ne débordent pas au Centre-du-Québec, l’une des régions où le revenu médian des couples avec ou sans enfant est le plus bas. Le revenu de la région est de 65 190$, alors qu’il atteint 71 750$ au Québec. 

Une certaine défavorisation matérielle, contre un avantage social 

La population du Centre-du-Québec est plus fortement touchée par la défavorisation matérielle que l’ensemble de la population québécoise. En effet, en 2011, 28% des résidents de cette région vivent dans des conditions économiques très désavantageuses. Cette situation pourrait être attribuable à l’importance des secteurs de la fabrication et de l’agriculture dans la structure économique régionale. De plus, des écarts s’observent entre les différents secteurs de la région : 18,7% de la population de Victoriaville est très désavantagée au plan matériel, comparativement à 36,5% de la population de Nicolet-Bécancour.  

De manière générale, la population de l’ensemble de la région est moins fortement touchée par la défavorisation sociale que la population québécoise (14%). Cela dit, alors que 19,5% de la population de Drummondville est très désavantagée au plan social, seulement 6,5% de celle de Nicolet-Bécancour est dans cette situation. 

Un revenu familial qui n’a rien à envier à celui du Québec 

La proportion de familles centriçoises à faible revenu est similaire à celle du Québec. En effet, cette proportion atteignait 8,1% en 2016, contre 9,5% à l’échelle de la province. La situation est assez uniforme dans toutes les MRC de la région, mais la proportion la plus élevée est dans la MRC de Drummond, où la proportion atteint 8,7%. 

Le Centre-du-Québec et la recherche

Situé sur la rive sud du Saint-Laurent, le Centre-du-Québec fait face à Trois-Rivières et son université, l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Les étudiants et étudiantes de l’UQTR utilisent souvent la population du Centre-du-Québec comme échantillon pour leurs mémoires de maîtrise ou essais doctoraux. Dans de nombreuses recherches, ils et elles les recrutent par l’entremise du système de santé et de services sociaux. En effet, le Centre-du-Québec et la Mauricie forment, conjointement, une seule et même région au sein du réseau de la santé et des services sociaux : le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec (CIUSSMCQ). Toutefois, l’objectif de leurs recherches n’est pas de caractériser la région, puisque l’échantillonnage local semble plus être fait à des fins pratiques. 

La négligence en contexte familial

Une bonne partie de la recherche sur les dynamiques familiales disponible repose sur les essais et thèses des étudiants au doctorat en psychologie de l’UQTR. À cet égard, des sujets sensibles, comme la maltraitance parentale, plus précisément la négligence durant l’enfance, donnent le ton de plusieurs de ces travaux.  

Le Centre d’études interdisciplinaires sur le développement de l’enfant et de la famille (CEIDEF) de l’UQTR travaille souvent de pair avec les Centre jeunesse de la Mauricie et du Centre-du-Québec pour collaborer sur les projets de recherche liés à la négligence. À travers le Programme d’aide personnelle, familiale et communautaire de deuxième génération (PAPFC), les objectifs sont d’aider les familles et d’améliorer leurs connaissances sur ce délicat sujet.  

Enfants négligés : le poids du placement en famille d’accueil 

Comment la négligence parentale peut-elle affecter les comportements des enfants? Une question difficile à laquelle des étudiantes décident de répondre, en comparant les comportements des enfants négligés placés en famille d’accueil, et recrutés par le biais du Centre jeunesse de la Mauricie et du Centre-du-Québec, et ceux qui n’ont jamais connu de placement.   

À travers l’examen des différents comportements d’enfants vis-à-vis de leur famille d’accueil, Anne-Sophie Lanctôt (2017) insiste sur l’importance d’évaluer les niveaux d’attachement des enfants placés. Cela permettrait de mieux comprendre leurs besoins sur les plans relationnel et affectif, et de proposer aux familles d’accueil des interventions plus adaptées à leurs besoins. À ce sujet, Julie Bédard (2015) établit un lien entre l’âge et le sexe de l’enfant, ses représentations de lui-même et de ses figures parentales. Elle observe que les enfants qui ont vécu de la négligence, ainsi qu’une expérience de placement, ont une représentation plus positive de leur père, contrairement aux enfants non placés. Pour sa part, Julie St-Arnaud (2016) rapporte que les enfants négligés qui ont connu un placement en famille d’accueil présentent moins de problèmes de comportement que les enfants non placés.  

La négligence et l’impact sur le comportement

D’autres étudiantes comparent plutôt les comportements des enfants qui ont connu la négligence et ceux qui n’en ont pas vécu. 

L’agressivité physique chez les enfants maltraités d’âge préscolaire traduit la relation problématique qu’ils entretiennent avec leur mère, observe Laurie Dubois (2015). Un résultat appuyé par Auger (2015), qui estime que les problèmes de comportement de l’enfant seraient liés à une relation mère-enfant plus fragile. 

La qualité de l’attachement mère-enfant dans un cas de négligence influencerait la relation enfant-enseignant. Certaines caractéristiques chez l’enfant, comme des problèmes de comportement et ses interactions avec d’autres adultes, jouent peut-être un rôle important dans la qualité de la relation qu’il développe avec l’enseignant, évalue Marquis-Pelletier (2015). Selon la perception des enseignants, les enfants qui vivent de la négligence ne sont jamais aussi proches de leur enseignante que ceux qui n’en vivent pas.  

Des effets qui diffèrent selon le sexe

La négligence semble avoir des effets différents sur les filles et les garçons. Martin (2014) étudie le lien entre négligence parentale et la capacité de communiquer ses émotions chez les enfants d’âge préscolaire. La négligence provoquerait des déficits du langage, plus spécifiquement des difficultés dans la communication des émotions, mais seulement chez les garçons. Les enfants négligés ont été recrutés auprès du Centre jeunesse de la Mauricie et du Centre-du-Québec. 

Selon Henry (2011), les garçons maltraités reconnaissent plus difficilement leurs émotions que les filles dans une situation identique. Ainsi, le stress causé par la négligence ou la maltraitance aurait un effet néfaste sur le développement des habiletés sociales et émotionnelles des enfants, surtout les garçons. 

Et les parents négligents dans tout ça?  

Enfants victimes, parents responsables : mais que sait-on sur eux? À l’aide de données recueillies entre 1992-2007 auprès de la population de Mauricie et du Centre-du-Québec par le Centre d’études interdisciplinaires sur le développement de l’enfant et de la famille, Côté (2014) examine l’influence de différents facteurs (contexte de vie, caractéristiques personnelles) sur les comportements négligents des pères. Elle conclut que ses antécédents dans sa famille d’origine ont une influence sur la perception qu’il a de son enfant et sur l’utilisation de gestes non-violents. Par le soutien qu’il lui offre dans ses responsabilités parentales, le réseau social du père semble pouvoir modérer ses comportements violents. Denise Côté rappelle donc la nécessité d’intervenir directement auprès des pères négligents, ainsi que sur leur réseau social. 

Évaluation des services sociaux et de santé  

Le Plan de services individualisé et intersectoriel (PSII), dans la région de la Mauricie-et-Centre-du-Québec, s’adresse aux jeunes et aux familles qui ont des besoins à combler dans plusieurs dimensions de leur vie. 

L’harmonisation des pratiques du Programme de soutien aux familles pour les personnes ayant une déficience intellectuelle dans les CSSS, est un chantier de longue haleine, selon Lizotte (2014). L’Agence propose un nouveau cadre de référence régional pour la Mauricie et le Centre-du-Québec qui définit clairement les principes directeurs, la clientèle, les objectifs visés, les critères d’admissibilité et d’exclusion ainsi que les modalités d’application du programme.  

Ces familles néo-rurales qui choisissent Arthabaska 

Le mouvement migratoire de la ville vers la campagne, phénomène nommé néoruralité, est une réalité québécoise bien présente dans le Centre-du-Québec. Ces familles vivent en milieu urbain et font le choix de s’installer en permanence dans un milieu rural. Qui sont ces néoruraux et pourquoi décident-ils de quitter la ville pour s’installer en région? Quelles sont les répercussions de leur arrivée sur les populations locales? Une étude (Simard et Guimond, 2010) se penche sur les nouveaux défis qu’entraînent ces mouvements de population, plus précisément dans la MRC d’Arthabaska. 

Quels sont les constats auxquels arrivent Simard et Guimond? Les Néo-Arthabaskiens sont relativement jeunes : plus du tiers ont entre 18 et 39 ans, et une large majorité d’entre eux sont des parents actifs sur le marché de l’emploi. Autre caractéristique non négligeable : plusieurs sont nés dans la MRC. Ils connaissent la région et ont de la parenté qui y vit. À ce sujet, la présence de la famille dans Arthabaska est un facteur décisif dans le choix d’y revenir. La famille facilite les contacts et se rend disponible en cas de besoin.  

Cette migration n’est pas sans conséquence pour les populations locales. Le phénomène de la « gentrification rurale », liée à l’installation permanente de personnes de la classe moyenne ou aisée provenant des centres urbains en milieu rural, affecte de façon croissante la communauté d’Arthabaska.  

Le Centre-du-Québec, l’UQTR et la négligence parentale

Plusieurs recherches recensées abordent la thématique de la négligence familiale et son impact sur les enfants. À ce sujet, le Centre-du-Québec peut compter sur un bassin d’étudiants et étudiantes de l’UQTR qui s’intéressent aux réalités des familles centriçoises. Mais, comme c’est le cas pour plusieurs autres régions administratives du Québec, les constats représentent-ils des constats spécifiques et particuliers aux familles du Centre-du-Québec?  

Même au sein de la région elle-même, comment offrir un portrait généralisable? Population vieillissante, exode rural, concentration croissante de la population à Drummondville et Victoriaville, réalités autochtones : tant d’enjeux, parfois très locaux, qui affectent les familles, et qui méritent d’être éclaircis.  

Bibliographie par section

Quelques repères pour la région

Morneau, J., et Perron, N. (2015). Le Centre-du-Québec. Québec : Presses de l’Université Laval.

Portrait de la population

Institut de la statistique du Québec. (2018). Panorama des régions du Québec – Édition 2018.

Institut de la statistique du Québec. (2014). Perspectives démographiques des MRC du Québec, 2011-2036.

Portrait des familles

Ministère de la Famille. (2018). « Coup d’œil régional sur les familles. Les régions administratives et les MRC du Québec qui se distinguent sur le plan sociodémographique en 2016 », Bulletin Quelle famille?, vol. 6, no 3.  

Conditions de vie

Gravel, Marie-Andrée, et collab. (2016). Le positionnement de la région et des territoires de centres locaux d’emploi d’après l’indice de défavorisation matérielle et sociale, 2011 – Centre-du-Québec. Québec :Institut de la statistique du Québec.

Institut de la statistique du Québec. (2019). Bulletin statistique régional du Centre-du-Québec.

Institut de la statistique du Québec. (2019). “Taux de faible revenu, selon le type de famille, régions administratives et ensemble du Québec, 2012-2016”.

Le Centre-du-Québec et la recherche  

Auger, M.-L. (2015). Liens entre la qualité de la relation mère-enfant et les problèmes de comportements extériorisés et intériorisés chez les enfants victimes de négligence (Essai doctoral). Université du Québec à Trois-Rivières, Département de psychologie, Trois-Rivières (Québec).

Bédard, J. (2015). Les représentations mentales de soi et des autres de l’enfant négligé d’âge préscolaire ayant vécu l’expérience du placement en famille d’accueil (Essai doctoral). Université du Québec à Trois-Rivières, Département de psychologie, Trois-Rivières (Québec).

Côté, D. (2014). Les pères impliqués dans une problématique de négligence (Thèse de doctorat)Université du Québec à Trois-Rivières, Trois-Rivières (Québec).

Dubois, L. (2015). L’agressivité physique chez les enfants maltraités d’âge préscolaire en lien avec les habiletés verbales, le contrôle inhibiteur et les interactions mère-enfant (Essai doctoral). Université du Québec à Trois-Rivières, Trois-Rivières (Québec).

Henry, M. (2011). La reconnaissance des émotions chez des enfants maltraités (Essai doctoral). Université du Québec à Trois-Rivières, Trois-Rivières (Québec).

Lanctôt, A.-S. (2017). Évaluation multiple de l’attachement auprès d’enfants victimes de maltraitance et placés en famille d’accueil (Essai doctoral). Université du Québec à Trois-Rivières, Trois-Rivières (Québec).

Lizotte, K. (2014). Cadre de référence : Programme de soutien à la famille pour les personnes ayant une déficience, Agence de la santé et des services sociaux de la Mauricie et du Centre-du-Québec.

Marquis-Pelletier, É. (2015). Liens entre la négligence, l’attachement mère-enfant et la relation élève-enseignant (Essai doctoral)Université du Québec à Trois-Rivières, Trois-Rivières (Québec).

Martin, L. (2014). Maltraitance, interactions mère-enfant et développement du langage sur les états internes chez les enfants d’âge préscolaire (Thèse de doctorat). Université du Québec à Trois-Rivières, Trois-Rivières (Québec).

Simard, M., & Guimond, L. (2010). La migration de la ville vers la campagne au Québec? Portrait sociodémographique et économique de deux MRC contrastées et de leurs nouveaux résidents. Panorama des Régions du Québec, Édition 2010, p.13‑29.

St-Arnaud, J. (2016). Liens entre l’expérience antérieure de placement et les problèmes de comportement chez les enfants négligés de retour dans leur famille biologique (Essai doctoral). Université du Québec à Trois-Rivières, Trois-Rivières (Québec).