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Jusqu’en 1997, les familles ont eu droit à de généreuses allocations à la naissance, surnommées les « bébés bonus ».
De plus en plus de jeunes femmes désirent rester sans enfant, mais se heurtent à des barrières dans l’accès à la stérilisation.
Rendre publiques les pratiques de procréation assistée protège aussi bien la mère que l’enfant des complications liées à la grossesse ou à l’accouchement.
La politique familiale du Québec est reconnue comme l’une des plus généreuses et accessibles en Amérique du Nord. Pourtant, à l’époque de sa mise en place, la partie n’est pas gagnée d’avance.
La coercition reproductive sort peu à peu de l'ombre, mais demeure méconnue malgré ses conséquences sur la santé et le bien-être des femmes qui en sont victimes.
Tests de grossesse, échographies, tests de dépistage prénatal : au fil des ans, la technologie entourant la maternité n’a cessé d’évoluer.
De l’annonce de la fausse couche à leur sortie de l’hôpital, les femmes décrivent trop souvent être laissées à elles-mêmes.
Qui sont ceux et celles qui rejettent la tradition du mariage? Tout indique qu’il existe un lien avec le niveau d’éducation.
S’il est clair pour la majorité des participants que leur rôle se limite à celui de donneur, ils ne sont pas pour autant indifférents aux enfants nés de leurs dons.
Le flou juridique entourant la gestation pour autrui nuit considérablement aux pères homosexuels et à leur famille.
Fruits, légumes et grains entiers de façon abondante : il n’y a pas à dire, les femmes enceintes ont une meilleure alimentation que leurs consœurs.
Les enfants nés au sein d’une famille lesboparentale à l’aide d’un donneur connu le distinguent souvent d’un père, même s’ils l’incluent dans leur « constellation familiale ».
L’infertilité demeure une rude épreuve pour les couples hétérosexuels québécois qui désirent un enfant. Une véritable détresse, qui ne s’exprime pas de la même façon chez les femmes et les hommes.
Alors que les tâches domestiques sont toujours l’apanage des femmes, leurs conséquences sur le désir d’avoir un nouvel enfant commencent à se faire sentir.
Au-delà de l’image sexiste de la « cougar », ces femmes veulent mettre à profit leur expérience de vie. Elles sont à une étape de leur vie où elles souhaitent s'épanouir.
Entre liberté et dignité, respect et droit, échange commercial et don de soi, la maternité de substitution suscite de nombreuses controverses.
Être en couple, avoir quitté le nid familial et occuper un emploi : voici plusieurs facteurs qui favorisent un projet d’enfant.
Les personnes qui ne souhaitent pas avoir d’enfant évoquent plusieurs raisons pour justifier leur choix : poids des responsabilités envers l’enfant, désir de liberté, motifs écologiques, etc.
En 2015, au Québec, trois bébés sur dix sont issus d’un couple mixte ou immigré. En fait, ce type de naissance est en hausse depuis les années 1980.
Qu’ils optent pour la procréation assistée ou l’adoption, les parents considèrent tout autant les liens de sang que les liens affectifs.