Quelques repères sur la région
Le territoire de la Montérégie est la terre d’appartenance des Iroquoiens, jusqu’à la colonisation française, où elle devient l’un des principaux champs de bataille. D’abord entre Français et Iroquoiens, puis entre Français et Anglais lors de la Guerre de Conquête (1754-1760). La situation se stabilise après cette dernière si bien qu’au XIXe siècle, la Montérégie est la région la plus densément peuplée du Québec. En effet, durant les années 1830 et 1840, près du tiers des Québécois y sont établis. Elle est si populeuse qu’avant la fin du siècle, un quart de million de Montérégiens s’exilent entre autres vers les États-Unis, car l’espace y est insuffisant. Elle est également le théâtre des rébellions de 1837-1838. Finalement, elle connaît, une grande croissance démographique dans les années 1960.
D’un point de vue démographique, la région est aujourd’hui composée de 15 MRC et de deux communautés autochtones, celles de Akwesasne et de Kahnawake. La plus grande ville de la Montérégie est Longueuil et son agglomération, qui est d’ailleurs le centre d’activités de la Rive-Sud de Montréal. De plus, la Montérégie est, après Montréal, la deuxième terre d’accueil des immigrants. Du côté économique, la Montérégie est souvent surnommée le « garde-manger du Québec ». De fait, il s’agit d’une importante région pour la production et la transformation des aliments étant donné ses sols et ses climats favorables à la culture agricole. La Montérégie est donc bien plus qu’une extension banlieusarde de Montréal. Cela dit, la région ne trouve son nom officiel qu’en 1978, à la suite d’un concours tenu par la Conseil régional de la santé et des services sociaux du Sud de Montréal.
Portrait de population
Terre populeuse, terreau de naissances
Grande population, beaucoup de naissances : voilà qui définit bien la population de la Montérégie. Tout juste après Montréal, elle est la deuxième région la plus populeuse de la province. Actuellement, près d’un Québécois sur cinq habite y habite (18,4%).
Plus globalement, la population de la région augmente année après année, et rien n’indique que la tendance s’essoufflera. Pour preuve, les projections montrent qu’entre 2011 et 2036, elle croitra de 17%. Par contre, le portrait est inégal d’une MRC à l’autre. Elle devrait augmenter de plus de 40% dans Vaudreuil-Soulanges, alors qu’elle baisserait de 2% dans Haut-Saint-Laurent.
Banlieue peuplée, campagne délaissée
La Montérégie allie territoires banlieusard et rural, d’où les écarts démographiques entre ses différentes MRC. Les plus populeuses sont généralement les banlieues à proximité de l’île de Montréal, qui font d’ailleurs partie de la région métropolitaine de Montréal (RMM), avec Longueuil, Roussillon et Vaudreuil-Soulanges en tête de liste. Les MRC les moins peuplées, comme Acton, le Haut-Saint-Laurent et les Jardins-de-Napierville, sont plus éloignées de la métropole.
Un mélange générationnel
Dans l’ensemble, la population de la Montérégie est aussi âgée que celle de l’ensemble du Québec. L’âge médian y est de 42,4 ans, alors qu’il est de 42,2 ans pour la province. Toutefois, on note une grande variation au sein de la région. Par exemple, l’âge médian est de moins de 40 ans dans la MRC du Roussillon (39,9 ans), alors qu’il dépasse la cinquantaine dans celle de Pierre-De Saurel (50,9 ans).
Portrait des familles
Bienvenue aux familles avec enfants!
Qui dit grande population et nombre important de naissances dit beaucoup de familles avec enfants. En 2016, la Montérégie (249 375 familles avec enfants) est la deuxième région comptant le plus de familles avec enfants au Québec, derrière Montréal (307 375). De plus, ce nombre ne cesse de croître! La Montérégie connaît, entre 2006 et 2016, une hausse de la proportion de familles avec enfants (+4,4%) qui dépasse la moyenne québécoise (+1,6%).
Cette tendance ne s’observe cependant pas partout: les MRC de Vaudreuil-Soulanges (+20,9%), de La Vallée-du-Richelieu (+11,4 %) et de Roussillon (+11,2%) connaissent des hausses qui dépassent largement la moyenne québécoise, alors que la MRC de Pierre-De-Saurel (-12,2%) connaît une chute importante.
Des familles pas si jeunes
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, en dépit de la forte proportion de familles avec enfants en Montérégie, ces dernières sont plutôt âgées. La région figure parmi celles où les « jeunes familles », soient celles composées de parents de moins de 35 ans, sont les moins présents (21,7%), après Gaspésie-Îles, Montréal et Laval.
Conditions de vie
Une répartition de familles à faible revenu assez variable
Le revenu des couples de Montérégie est appréciable. En 2016, la région figure parmi celles où les familles à faible revenu sont les moins nombreuses (8,1%). Toutefois, certaines MRC sont aux antipodes : près d’une famille sur quatre vit avec un faible revenu dans Les Jardins-de-Napierville (24,7%), comparativement à moins de 5% des familles dans Marguerite D’Youville (3,5%).
Favorisée matériellement… et socialement
Richesse économique, tissu social : la Montérégie est avantagée… mais aussi désavantagée selon les secteurs : 12% de la population de la Montérégie est considérée comme très défavorisée sur le plan matériel. La multitude d’emplois de complexité supérieure et la présence de « navetteurs », qui voyagent entre la Montérégie et Montréal, peuvent expliquer pourquoi la région est, dans l’ensemble, moins touchée que la population québécoise. Par contre, certaines villes plus éloignées de Montréal se portent moins bien. En effet, dans le Haut-Saint-Laurent ou la région d’Acton Vale, la proportion de population jugée très défavorisée sur le plan matériel grimpe à 45% et 40% respectivement. Les emplois y sont plus précaires, puisque l’économie est principalement basée sur le secteur agricole. De plus, le déclin du secteur manufacturier affecte également les niveaux de revenu et d’emploi.
La Montérégie est plus favorisée socialement que l’ensemble du Québec. Seulement un peu plus de 15% de sa population est très défavorisée sur le plan social (16,6%). La population la plus désavantagée se trouve dans le secteur de Longueuil, en banlieue de Montréal, où 31% de la population est considérée comme très défavorisée sur le plan social. Sur ce territoire, près de quatre résidents sur dix vivent dans un milieu très défavorisé. Étant la principale agglomération de la région, ainsi que la cinquième en importance au Québec, ce résultat témoigne de la fragilité du tissu social en milieu plus urbain. En revanche, Acton Vale et le Haut-Saint-Laurent, deux secteurs moins populeux et plus éloignés des centres urbains régionaux, sont particulièrement bien lotis : moins de 5% seulement de leur population est très désavantagée socialement.
La Montérégie et la recherche
La Montérégie est aux portes de l’île de Montréal qui est, elle, une plaque tournante de la recherche avec ses quatre universités. Des chercheurs et chercheuses se penchent, entre autres, sur l’évaluation des programmes de santé et de services sociaux offerts aux familles, ainsi que sur la migration interrégionale. Or, malgré cette position géographique enviable, les réalités familiales spécifiques à la région ne sont pas les sujets de recherche privilégiés par les universitaires de la métropole.
Un regard critique sur l’intervention psychosociale
Un nombre important de chercheuses ont fait l’évaluation de différents programmes d’intervention montérégiens offerts par les services sociaux pour les familles et les jeunes.
La santé mentale des jeunes à cœur
Implanté depuis 2001, « Grandir en santé mentale en Montérégie » est un projet d’un réseau intégré de services pour les jeunes aux prises avec un problème de santé mentale de l’Hôpital Charles LeMoyne, de Longueuil. Projet multidisciplinaire, il regroupe des équipes médicales, psychiatriques, psychologiques, ainsi que des travailleurs sociaux. Afin de rendre plus efficace le travail des équipes, le mémoire de maîtrise de Duclos (2013) recommande des ententes officielles de collaboration avec les équipes, d’assurer une coordination clinique dans chaque équipe et de développer des formations communes entre les services.
L’approche « psychodrame de groupe » est pertinente en suivi thérapeutique dans l’équipe de Santé mentale jeunesse de 1re ligne au CSSS Champlain (Rosay, 2011). Selon l’étudiante-chercheuse, cette forme d’intervention, qui valorise l’idée de se mettre en scène pour guérir, peut être bénéfique pour les enfants de 8 à 12 ans. Elle conclut son argumentaire en présentant une proposition concrète d’implantation en CLSC.
Portée et limites du programme Crise-Ado-Famille-Enfance
Le programme Crise-Ado-Famille-Enfance (CAFE) préconise une intervention psychosociale de première ligne rapide, intensive et offerte dans le milieu du jeune suscitent de nombreux intérêts. Depuis 1999, il vise à soutenir les familles montérégiennes qui doivent faire face aux problèmes de comportement et aux besoins particuliers de leurs jeunes de 5 à 17 ans. L’un des objectifs de cet ambitieux programme est d’éviter le recours au signalement à la protection de la jeunesse et le placement en milieu de substitution (Hogue, 2011 ; Breault, 2012; et St-Laurent, 2012). Il est important que les interventions du CAFE soient ajustées aux réalités régionales des familles, encore aujourd’hui peu connues, et que la supervision clinique assurée par les intervenants soit régulière et de qualité. Hogue (2011) évalue ainsi les bénéfices de l’application des plans d’intervention du CAFE pour les jeunes et les familles. L’alliance thérapeutique, caractérisée par la collaboration entre le patient, son entourage et le thérapeute, est un facteur-clé dans la réussite des interventions offertes aux jeunes et aux familles en difficultés. St-Laurent (2012) s’intéresse justement aux facteurs qui influencent cette collaboration au début du programme CAFE. Le fait que le jeune et l’intervenant soient tous deux de sexe féminin, la flexibilité de la famille et le manque de supervision parentale ont des répercussions positives sur la relation entre l’intervenant et le jeune. L’engagement parental, les évènements de vie stressants vécus par le parent et une relation parent-enfant détériorée peuvent quant à eux, influencer négativement cette collaboration.
Bien souvent, les familles monoparentales et défavorisées qui suivent le programme CAFE s’en sortent mieux que les familles biparentales défavorisées. La distribution des tâches, de l’investissement affectif, et la gestion des enfants difficiles ne sont plus tout à fait des barrières insurmontables, selon les parents. C’est le constat de Breault (2012), qui étudie l’effet du CAFE sur l’évolution des familles monoparentales et défavorisées.
Tisser des liens gagnants : réponse montérégienne à la négligence parentale
Constatant que la négligence parentale est le principal motif de signalement à la protection de la jeunesse, la Montérégie a implanté, en 2012, le programme Je tisse des liens gagnants (JTLG), inspiré du programme d’aide personnelle, familiale et communautaire développé par le professeur Carl Lacharité de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Quels en sont les échos et comment assurer la pérennité du programme le cas échéant?
Les intervenants et les familles suivies par le programme JTLG dans Haut-Richelieu-Rouville, Jardins-Roussillon et Champlain-Charles-Le Moyne en ont une opinion positive. Selon le rapport de Groulx et Nour (2016), ce dernier aurait permis aux intervenants de mieux comprendre le phénomène de négligence, et aux parents de briser l’isolement social et d’accroître la perception de leurs compétences parentales. Les auteures sont, néanmoins préoccupées par le manque de temps, de ressources humaines et financières pour garantir le plein potentiel du programme JTLG. Elles insistent donc sur l’importance de l’engagement des trois CISSS dans la poursuite de l’implantation du programme, et ce, de façon uniforme dans l’ensemble de la Montérégie.
Ces familles néo-rurales qui choisissent la Montérégie
Le mouvement migratoire de la ville vers la campagne, la néoruralité, est une réalité québécoise bien présente. Ces familles vivent en milieu urbain et font le choix de s’installer en permanence dans un milieu rural : ils portent le nom de néoruraux. Qui sont-ils et pourquoi décident-ils de quitter la ville pour s’installer en région? Quelles sont les répercussions de leur arrivée sur les populations locales? Quelques études se penchent sur les nouveaux défis qu’entraînent ces mouvements de population, plus précisément dans la MRC de Brome-Missisquoi.
Dans leur rapport, Simard et Desjardins (2008) brossent un portrait de ces jeunes familles urbaines qui font le saut dans le monde rural. La quasi-totalité des Néo-Bromisquois interrogés sont des jeunes couples en union de fait, parents d’enfants en bas âge. Ils considèrent être bien intégrés dans Brome-Missisquoi, mais suggèrent de faciliter l’accès à la propriété et au logement pour les jeunes familles et de s’assurer que le développement économique de la région soit durable. Dans le même rapport, les chercheurs présentent les motifs de migration de ces jeunes familles. L’implantation d’une politique familiale municipale, d’actions pour favoriser l’accueil de ces jeunes familles, ainsi que des mesures pour sensibiliser les acteurs locaux aux réalités de ces nouveaux habitants sont autant de mesures recommandées par les chercheurs. Cette migration n’est pas sans conséquence pour les populations locales. Le phénomène de la « gentrification rurale », lié à l’installation permanente de personnes de la classe moyenne ou aisée provenant des centres urbains en milieu rural, affecte de façon croissante la communauté de Brome-Missisquoi (Guimond et Simard, 2010).
La maltraitance chez les aînés : bien plus proche que l’on croit
Si la négligence parentale est un fer de lance dans le domaine social, l’autre extrémité du spectre, soit la maltraitance des personnes aînées, est de plus en plus évoqué. La maltraitance est plus souvent rencontrée chez les femmes aînées, les personnes aînées séparées ou veuves et celles qui ont été violentées durant leur enfance, selon Lemarchand (2015). D’autre part, la maltraitance psychologique est la principale forme de maltraitance vécue, suivie par les abus financiers et physiques. Finalement, les personnes aînées maltraitées présenteraient davantage de symptômes de dépression, d’anxiété ainsi que certains types de maladies chroniques. L’auteure utilise les données obtenues à partir des questions qui portent sur la maltraitance dans l’Enquête sur la santé des aînés et la qualité des services de santé de la Montérégie (ESA-services), réalisée entre 2011 et 2013 auprès de personnes aînées qui vivent dans la communauté.
Le passé des réfugiés colombiens
La violence organisée subie en Colombie affecte le processus d’intégration des réfugiés colombiens installés en Haute-Yamaska. Dans son mémoire de maîtrise, Cledon (2011) met en lumière la manifestation de mécanismes de protection comme l’isolement dans la société d’accueil. De plus, l’auteure constate une différence du sens donné à la violence entre les réfugiés colombiens et la société d’accueil. Selon Cledon, cela pourrait s’expliquer par le fait qu’ils ont été ont été victimes ou témoins de violence dans leur pays d’origine. Le deuil d’un proche en Colombie limite l’investissement personnel de certains immigrants colombiens au Québec, selon l’auteure.
La construction identitaire des femmes métisses de Kahnawà:ke
La construction identitaire est aussi l’apanage des femmes métisses issues du territoire Mohawk de Kahnawà:ke, interpellées par les valeurs plus traditionnelles. Afin de mieux comprendre leurs choix identitaires et la façon dont se perpétue la culture mohawk dans les familles mixtes-mohawks, le mémoire de Chow (2017) laisse la parole à des femmes de familles métisses issues du territoire Mohawk de Kahnawà:ke. Les femmes interrogées sont davantage liées au côté mohawk de leur famille, car leurs parents veillent à entretenir des liens étroits avec cette dernière et souhaitent leur inculquer des valeurs mohawks. Lorsqu’elles étaient enfants, l’amour et le support offerts par les aînés de la famille maternelle ont été très importants pour renforcer leur estime de soi notamment.
Région peuplée et diversifiée: plus d’études recherchées
Plus qu’une banlieue de la rive sud de Montréal, la Montérégie est historiquement, le foyer de peuplement du Québec. Elle conserve cette particularité en étant, aujourd’hui, la deuxième région la plus peuplée de la province, ainsi que la deuxième région qui accueille le plus de nouveaux arrivants. Les milieux de vie sont variés, alliant secteurs urbains, tels Longueuil ou Granby, et ruraux, comme Haut-Saint-Laurent ou Acton Vale. Comme c’est le cas pour plusieurs autres régions administratives, ces différences se traduisent par des réalités et conditions de vie très variables pour les familles montérégiennes. Les enjeux de mobilité et de déplacement des familles à Boucherville sont à mille lieues des enjeux que connaissent les familles de Sutton.
Pour l’instant, la recherche sur les réalités familiales de la région se concentre sur l’évaluation de différents programmes de santé et de services sociaux montérégiens, qui offrent des services aux jeunes et à leur famille. Dans bon nombre de cas, ces études proviennent de mémoires de maîtrise ou de thèse de doctorat. À l’image des recherches qui étudient le phénomène de la néoruralité, il faut maintenant brosser un portrait local des familles de la Montérégie et des réalités quotidiennes auxquelles elles font face.
Bibliographie par section
Quelques repères pour la région
Fortin, Jean-Charles. (2009). La Montérégie. Québec : Les Presses de l’Université Laval.
Portrait de la population
Direction de santé publique de la Montérégie. (2016). Plan d’action régional de santé publique 2016-2020. Longueuil : Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie-Centre.
Institut de la statistique du Québec. (2018). Panorama des régions du Québec – Édition 2018.
Institut de la statistique du Québec. (2017). Bulletin statistique régional de la Montérégie.
Portrait des familles
Ministère de la Famille. (2018). « Coup d’œil régional sur les familles. Les régions administratives et les MRC du Québec qui se distinguent sur le plan sociodémographique en 2016 », Bulletin Quelle famille?, vol. 6, no 3.
Conditions de vie
Direction de santé publique de la Montérégie. (2016). Plan d’action régional de santé publique 2016-2020. Longueuil : Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie-Centre.
Gravel, M.-A., et collab. (2016). Le positionnement de la région et des territoires de centres locaux d’emploi d’après l’indice de défavorisation matérielle et sociale, 2011 – Montérégie. Québec : Institut de la statistique du Québec.
Institut de la statistique du Québec. (2015). “La Montérégie ainsi que ses municipalités régionales de comté (MRC)”.
La Montérégie et la recherche
Breault, E.-M. (2012). Impact de la monoparentalité et de la pauvreté combinées sur l’évolution des familles bénéficiant d’une intervention brève et intensive de crise (Mémoire de maîtrise). Université de Sherbrooke, Département de psychoéducation, Sherbrooke (Québec).
Cledon, R. (2011). Les effets de la violence organisée sur le processus d’intégration des réfugiés : le cas des Colombiens au Québec (Mémoire de maîtrise). Université de Montréal, Département de criminologie, Montréal (Québec).
Chow, E. (2017). Mixed Identity and Cultural Transmission : Narratives of Mixed-Blood Women from a First Nations Community (Mémoire de maîtrise). Université de Montréal, Département de sociologie, Montréal (Québec).
Duclos, C. (2013). Description des modes d’organisation des services de ligne en santé mentale jeunesse dans le cadre du programme “ Grandir en santé mentale en Montérégie “ (Mémoire de maîtrise). Université de Sherbrooke, Faculté de médecine et des sciences de la santé, Sherbrooke (Québec).
Groulx, J. ; Pilote, R. ; et de Léry, R. (2011). L’homicide par arme à feu en contexte conjugal et familial : une étude qualitative de l’intervention dans les situations à risque auprès d’intervenants et policiers de la Montérégie. Longueuil : Direction de santé publique de la Montérégie.
Groulx, J. et Nour, K. (2016). Je tisse des liens gagnants : évaluation d’implantation du programme en Montérégie. Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie-Centre, Longueuil (Québec).
Hogue, J. (2011). Étude exploratoire sur le degré d’ajustement des interventions réalisées par des intervenants d’un programme d’intervention brève et intensive de crise et son impact sur l’évolution des jeunes et des familles à la fin de l’intervention (Mémoire de maîtrise). Université de Sherbrooke, Faculté d’éducation, Sherbrooke (Québec).
Lemarchand, A. (2015). Facteurs de vulnérabilité des aînés à la maltraitance perpétrée par un ou plusieurs de leurs enfants (Essai doctoral). Université du Québec à Trois-Rivières, Département de psychologie, Trois-Rivières (Québec).
Rosay, A. (2011). Proposition d’utilisation du psychodrame de groupe avec des enfants de 8 à 12 ans en suivi thérapeutique dans l’équipe de santé mentale jeunesse de 1re ligne en CLSC (Essai doctoral). Université du Québec à Trois-Rivières, Département de psychologie, Trois-Rivières (Québec).
Simard, M.; et Desjardins, B. (2008). Motifs de migration, besoins et insertion des jeunes néo-ruraux dans Brome-Missisquoi, ainsi qu’une synthèse comparative avec les jeunes néo-Arthabaskiens. Institut national de la recherche scientifique – Centre Urbanisation Culture Société, Montréal (Québec).
Simard, M. et L. Guimond. (2010). «La migration de la ville vers la campagne au Québec? Portrait sociodémographique et économique de deux MRC contrastées et de leurs nouveaux résidents», dans Panorama des régions du Québec. Institut de la statistique du Québec, Québec (Québec), p.13-29.
St-Laurent, C. (2012). Les caractéristiques des jeunes et des parents associés à l’établissement de l’alliance thérapeutique au sein d’un programme d’intervention brève et intensive de crise (Mémoire de maîtrise). Université de Sherbrooke, Faculté d’éducation, Sherbrooke (Québec).