À propos de l'étude

Ce texte de vulgarisation est tiré de l’article de Shawn Renée Hordyk, Sarah Fraser et Lucie Nadeau « Kitsaniq (deuil) chez les jeunes Inuit du Nunavik. Des défis et des pistes de solutions pour les personnes qui veulent les soutenir », publié en 2024 dans Frontières [en ligne], volume 35, no 2.

  • Faits saillants

  • Pour les personnes inuit du Nunavik, la notion de parenté inclut la famille, la communauté et les pairs. Les oncles, les tantes et les grands-parents peuvent être considéré·e·s comme des parents, les proches et les voisins, comme des membres de la famille et les cousin·e·s, comme des frères et des sœurs.
  • Le grand nombre de décès et de pertes avec lequel elles doivent elles-mêmes composer est l’un des plus grands défis rencontrés par les personnes inuit qui travaillent auprès des jeunes endeuillé·e·s du Nunavik.
  • Certains mentors partagent avec les jeunes du Nunavik leur propre expérience du deuil en inuktitut. Cela permet aux jeunes d’échanger et de poser des questions.
  • Des intervenant·e·s inuit œuvrant auprès des jeunes endeuillé·e·s du Nunavik nomment l’importance de combiner aux interventions et discussions sur les émotions des pratiques ancrées dans la culture inuit comme l’art, le jeu et les activités sur le territoire.