Pour le mot-clé : Autochtones
Photo : Kimly (Adobe Stock)
Pour ces jeunes qui sont fragilisé·e·s, l’emploi représente un point d’ancrage, une base de départ, une fondation sur laquelle construire le reste de leur vie.
Crédit photo : Heather Mount, Unsplash
En 2017, 31 % des jeunes femmes inuit du Nunavik, âgées de 16 à 20 ans, avaient déjà vécu une première grossesse.
L’accouchement n’a rien d’un moment magique lorsqu’il est question d’évacuation. Au contraire, pour de nombreuses femmes, l’événement est traumatisant, voire aliénant.
En mettant uniquement l’accent sur les responsabilités parentales, la DPJ occulte les valeurs des familles autochtones et fait fi de leurs conditions de vie difficiles.
Grands-parents, oncles, tantes, cousins et même voisins : la famille, chez les Innus, est beaucoup plus large que la famille nucléaire habituellement définie dans la société allochtone.
Rocco Caruso
Quand vient le temps de stimuler leurs enfants dans l’enceinte de la réserve, les parents se sentent démunis. Comment intervenir pour les aider à regagner confiance en leurs capacités parentales?
En 2017, le vent tourne : Québec adopte le projet de loi 113 après des années de travail entre les Premières Nations et le gouvernement.
« Marry out, get out! ». Le principe appliqué dans la réserve mohawk de Kahnawake a le mérite d’être clair. Les débats sur les couples mixtes, leur appartenance à la communauté et...
Dès le XIXe siècle, on mettait en cause la légitimité des mariages mixtes entre Autochtones et Blancs, ainsi que le statut de leurs enfants, des métis, au nom de la protection du territoire.
Depuis l’entrée en vigueur de la Loi sur la protection de la jeunesse (LPJ) au Québec, en 1979, les Atikamekw tentent de faire reconnaître leur propre régime de protection de la jeunesse.
Les Autochtones du Canada sont plus à risque que d’autres populations de se trouver un jour en situation d’itinérance.
Dans les années 1950, le gouvernement canadien a relocalisé de nombreux ménages inuits du Nunavik. Les ménages du Nunavik sont confrontés à un autre problème grave : l’insécurité alimentaire.
(c) Jackie Traverse
Les femmes autochtones sont trois fois plus susceptibles d’être victimes de violence conjugale que l’ensemble des Canadiennes...
Ricky B3 sur flickr.com
L’adoption, un traumatisme pour les enfants ? Pas nécessairement. Au Nunavik, le « don d’enfant » est une pratique courante, qui concerne un enfant sur trois de moins de 17 ans.