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En 2020 au Canada, entre 30 à 40 % des jeunes vivant dans la rue s’identifiaient comme appartenant à la communauté LGBTQ+.
Partout à travers le pays, les parents s’entendent pour dire que les cours d’éducation à la sexualité devraient aborder un large éventail de sujets, du plus commun au plus méconnu.
Si certains jeunes trans et non binaires bénéficient d’un soutien parental fort, d’autres se heurtent au rejet de leurs parents à la suite de leur coming out.
S’il est clair pour la majorité des participants que leur rôle se limite à celui de donneur, ils ne sont pas pour autant indifférents aux enfants nés de leurs dons.
Le flou juridique entourant la gestation pour autrui nuit considérablement aux pères homosexuels et à leur famille.
Incompréhension, jugement et absence de soutien de la part des parents : c’est ce que traversent bien des jeunes adultes non binaires à la suite de leur coming out.
Les enfants nés au sein d’une famille lesboparentale à l’aide d’un donneur connu le distinguent souvent d’un père, même s’ils l’incluent dans leur « constellation familiale ».
Contrairement aux couples hétérosexuels qui optent souvent, par tradition, pour le nom du père, le choix d'un nom de famille est longuement réfléchi chez les couples de même sexe.
Faire leur coming out : c’est le premier défi auquel sont confrontées les femmes âgées lesbiennes au décès de leur conjointe.
Crédit : Brian Kyed
Si le Québec est l’un des premiers États au monde à avoir franchi le pas vers la reconnaissance de l’homoparenté en 2002, le chemin n’a pas été de tout repos.
Crédit: GagnonM1993
Certains parents vivent la transition aux côtés de leurs enfants, alors que d’autres traversent ce changement avant de fonder une famille. En quoi leur cheminement diffère-t-il ?
Crédit: Daphne Channa Horn
Papa est un homme, maman est une femme… Cette affirmation, si simple soit-elle, ne décrit pourtant pas la réalité de tous les parents.
Crédit: Anna Shvets
Malgré l’obtention de l’égalité juridique, les conjoints de même sexe vivent encore de nombreux défis, dont celui de fonder une famille.
Crédit: Ketut Subiyanto
Depuis 2003, environ un tiers des enfants adoptés via les services d’adoption du CIUSSS Centre-Sud-de-l'île-de-Montréal ont fait le bonheur de pères gais. Un véritable «Gayby Boom»!
Crédit: Sharon McCutcheon
Compliquée, l’entente entre maman et belle-maman ? Pas si vite! En contexte de recomposition familiale, plusieurs facteurs influencent cette relation… dont le sexe des partenaires!
Quelle est la relation qu’entretiennent le couple lesbien et le donneur connu? Comment se définit le rôle de ce dernier après la naissance de l’enfant?
Le soutien familial est à la base du bien-être des jeunes LGBT. Sans ce soutien, le risque que ces jeunes vivent de la détresse psychologique augmente.
De nombreux aînés LGBT en résidence évitent de dévoiler leur orientation sexuelle ou leur identité de genre, craignant de ne pas être respectés par les intervenants ou les autres résidents.
Une fois passé le choc initial, les parents doivent s’adapter à une nouvelle réalité, faire face à plusieurs difficultés et, sur ce parcours, parfois recourir à des services de soutien.
Que ce soit à la maison ou à l’école, les jeunes trans sont plus à risque de vivre de la violence : regards réprobateurs, insultes, harcèlement, voire attaques physiques.