Environ 3 % de la population vivra un jour ou l’autre une psychose, généralement entre l’âge de 18 et 35 ans.
Perdre définitivement la garde d’un enfant placé par la DPJ : une épreuve bouleversante pour les mères biologiques. Face à ce drame, toutes ne réagissent pas de la même façon.
L’accouchement n’a rien d’un moment magique lorsqu’il est question d’évacuation. Au contraire, pour de nombreuses femmes, l’événement est traumatisant, voire aliénant.
Insidieuse et souvent très subtile, la négligence est loin d’être homogène et prend de multiples visages.
De l’annonce de la fausse couche à leur sortie de l’hôpital, les femmes décrivent trop souvent être laissées à elles-mêmes.
Mieux comprendre son enfant, échanger avec d’autres parents qui vivent la même réalité et acquérir de nouvelles habiletés : voilà quelques-uns des bienfaits du programme, selon les parents.
Le service d’accompagnement familial permet de faire d’une pierre deux coups : les infirmières développent leurs compétences d’intervention, tout en améliorant le bien-être des familles.
Qu’elles soient conjointes, mères, filles ou amies, celles qui prennent soin d’un proche malade ou âgé n’échappent pas au « deuxième shift » qui les attend après le travail.
Dans plusieurs cas de consommation excessive d’alcool ou de drogues, les services de la protection de la jeunesse prennent en charge les enfants dès la naissance.
Le processus migratoire, leur expérience de déqualification et l’adaptation aux pratiques et valeurs de la province façonnent le regard qu’ont les parents récemment immigrés de l’école québécoise.
L'aménagement de l’unité de néonatalogie peut-il avoir des bénéfices insoupçonnés pour les nouvelles mères ?
Les intervenantes — bonne oreille des confidences des femmes — sont souvent tiraillées entre le respect des choix des victimes et la responsabilité de les aider.
Susciter l’humanité de l’agent d’immigration dans son évaluation de l’authenticité, de la profondeur et du bien-fondé de la relation amoureuse : telle est la mission des avocats interrogés.
En mettant uniquement l’accent sur les responsabilités parentales, la DPJ occulte les valeurs des familles autochtones et fait fi de leurs conditions de vie difficiles.
Suis-je victime ou bourreau ? L’antiféminisme brouille la perception que les femmes hébergées ont d’elles-mêmes et de la violence subie.
La violence est souvent banalisée, voire reléguée au second plan par les tribunaux, ce qui complexifie le processus judiciaire.
La médiation familiale en contexte de violence conjugale, une bonne idée ? Ça se discute !
Perdre une famille : c’est l’impression qu’ont les parents lorsque vient le moment de quitter l’équipe de soins spécialisée qui s’occupe de leur enfant depuis tant d’années.
Parents et médecins, rivaux ou collaborateurs ? Le partage des connaissances mène à l’amélioration des soins, mais aussi à la confrontation si les avis divergent.
Crédit : Anete Lusina
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