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Si le premier accouchement est synonyme d'inconnu et d’anxiété, les accouchements suivants sont, pour plusieurs mères, l’occasion de s’affirmer et de faire entendre leurs besoins.
Environ 3 % de la population vivra un jour ou l’autre une psychose, généralement entre l’âge de 18 et 35 ans.
Pour les parents de jeunes enfants, les conséquences du manque de sommeil sont nombreuses, et les conseils pour y remédier, limités.
Les blessures émotionnelles ne sont que la pointe de l’iceberg de traumatismes complexes, mais leurs conséquences sont réelles et peuvent être à l’origine de troubles de la personnalité.
Environ un tout-petit sur cinq présente un retard de développement, et la détection précoce par les parents permet d’intervenir plus rapidement pour lui permettre d’actualiser son plein potentiel.
Les enfants sont loin d’être insensibles au stress. Au contraire, les préoccupations de leurs parents nourrissent leur anxiété, et l’inverse est aussi vrai !
L’accouchement n’a rien d’un moment magique lorsqu’il est question d’évacuation. Au contraire, pour de nombreuses femmes, l’événement est traumatisant, voire aliénant.
Tests de grossesse, échographies, tests de dépistage prénatal : au fil des ans, la technologie entourant la maternité n’a cessé d’évoluer.
Du diagnostic jusqu’au décès et même après, les proches d'une personne en fin de vie font face à de nombreuses questions sur l’existence.
De l’annonce de la fausse couche à leur sortie de l’hôpital, les femmes décrivent trop souvent être laissées à elles-mêmes.
« Qu’est-ce qui est le mieux pour mon enfant? » Ce questionnement tout simple – et sain – est à la base de l’hésitation des mères face à la vaccination.
Passer un test de dépistage de la trisomie 21 : un choix difficile pour certaines femmes enceintes. Même si le dépistage est offert gratuitement au Québec, plusieurs hésitent à y recourir.
Mieux comprendre son enfant, échanger avec d’autres parents qui vivent la même réalité et acquérir de nouvelles habiletés : voilà quelques-uns des bienfaits du programme, selon les parents.
Précarité financière, barrières linguistiques et culturelles, traumatismes prémigratoires et manque de soutien des proches : le parcours migratoire des mères immigrantes est dur pour le moral.
Le service d’accompagnement familial permet de faire d’une pierre deux coups : les infirmières développent leurs compétences d’intervention, tout en améliorant le bien-être des familles.
Qu’elles soient conjointes, mères, filles ou amies, celles qui prennent soin d’un proche malade ou âgé n’échappent pas au « deuxième shift » qui les attend après le travail.
Le manque d’information sur la maladie fait en sorte qu’elle est encore largement stigmatisée au sein de la communauté haïtienne.
Fruits, légumes et grains entiers de façon abondante : il n’y a pas à dire, les femmes enceintes ont une meilleure alimentation que leurs consœurs.
Dans plusieurs cas de consommation excessive d’alcool ou de drogues, les services de la protection de la jeunesse prennent en charge les enfants dès la naissance.
Jusqu’à une femme sur cinq développe une dépression post-partum dans l’année suivant la naissance. Comment les parents s’expliquent-ils cela ?