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Malgré toute leur bonne volonté, les intervenant·e·s rencontrent parfois des obstacles institutionnels limitant la portée de leur intervention auprès des personnes proches aidantes.
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Dans la lutte contre le cancer pédiatrique, vivre en région éloignée amène de nombreuses embûches qui exacerbent la vulnérabilité des familles et sollicitent leur résilience.
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D’entrée de jeu, un placement d’enfant n’est pas synonyme de relation harmonieuse entre l’intervenant·e et les parents. Quels sont les défis rencontrés? Comment pèsent-il sur le retour de l'enfant?
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Si chaque expérience migratoire est différente, les pères qui s'établissent au Québec partagent certains défis. Mais encore? Le manque d'information sur le soutien disponible complique leur parcours.
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Malgré leur tendance à passer entre les mailles du filet, les enfants dont un parent souffre d'un trouble de santé mentale ont des besoins de soutien bien réels.
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Comment rejoindre les familles vulnérables qui ne savent pas vers qui se tourner ou qui se méfient d’un système public de santé et services sociaux jugé trop complexe et impersonnel?
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Devenir parent n’est déjà pas évident. Pour certain·e·s jeunes en situation d’itinérance, le saut dans la parentalité s’accompagne d’épreuves et d’angoisses supplémentaires.
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La qualité des soins en santé mentale jeunesse est influencée par l’engagement des familles dans les services, mais aussi par celui des équipes d’intervention et des institutions.
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La participation des parents est-elle positive ? Oui, et ce, dans une majorité de situations, notamment lors de la recherche de solutions.
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Lorsque les services de la protection de la jeunesse prennent fin, c’est le quotidien d’adulte qui prend le relais.
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Pour mieux traverser le deuil périnatal, certains parents choisissent de s’impliquer auprès de l’hôpital afin d’accompagner d’autres familles qui vivent la même douleur.
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Les manifestations de l’apprentissage de l’autonomie et de la responsabilisation chez certains enfants peuvent parfois être perçues comme des signes de négligence parentale.
Aussi valorisant que méconnu, le rôle des familles d’accueil est pourtant un savant mélange entre enseignement, soins et attachement.
Pour les parents d’enfants ayant un trouble du spectre de l’autisme (TSA), la recherche de services spécialisés s’apparente souvent à une course à obstacles.
Lorsque le cancer se pointe, c’est tout le couple qui est ébranlé. Comment aider les partenaires à traverser cet ouragan qui souffle sur leur vie ?
Entre les démarches pour obtenir un diagnostic, la recherche de services et la pléiade de rendez-vous, les parents ont peu de temps pour souffler. Comment perçoivent-ils l’aide qui leur est offerte ?
Si la perte d’un bébé est une expérience douloureuse pour tous les parents, les défis de la migration amplifient ce deuil déjà particulièrement éprouvant.
Prendre une juste part du problème, trop s’impliquer, ou pas assez : la ligne est mince pour aider efficacement les victimes de violence conjugale !
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Les parents moins nantis profitent peu des mesures qui leur sont pourtant destinées.
Malgré leurs avantages, les trois mesures phares de la politique familiale québécoise renferment des écueils qui font tomber certains parents entre les craques du système.