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Devenir parent n’est déjà pas évident. Pour certain·e·s jeunes en situation d’itinérance, le saut dans la parentalité s’accompagne d’épreuves et d’angoisses supplémentaires.
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La qualité des soins en santé mentale jeunesse est influencée par l’engagement des familles dans les services, mais aussi par celui des équipes d’intervention et des institutions.
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La participation des parents est-elle positive ? Oui, et ce, dans une majorité de situations, notamment lors de la recherche de solutions.
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Lorsque les services de la protection de la jeunesse prennent fin, c’est le quotidien d’adulte qui prend le relais.
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Pour mieux traverser le deuil périnatal, certains parents choisissent de s’impliquer auprès de l’hôpital afin d’accompagner d’autres familles qui vivent la même douleur.
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Les manifestations de l’apprentissage de l’autonomie et de la responsabilisation chez certains enfants peuvent parfois être perçues comme des signes de négligence parentale.
Aussi valorisant que méconnu, le rôle des familles d’accueil est pourtant un savant mélange entre enseignement, soins et attachement.
Pour les parents d’enfants ayant un trouble du spectre de l’autisme (TSA), la recherche de services spécialisés s’apparente souvent à une course à obstacles.
Lorsque le cancer se pointe, c’est tout le couple qui est ébranlé. Comment aider les partenaires à traverser cet ouragan qui souffle sur leur vie ?
Entre les démarches pour obtenir un diagnostic, la recherche de services et la pléiade de rendez-vous, les parents ont peu de temps pour souffler. Comment perçoivent-ils l’aide qui leur est offerte ?
Si la perte d’un bébé est une expérience douloureuse pour tous les parents, les défis de la migration amplifient ce deuil déjà particulièrement éprouvant.
Prendre une juste part du problème, trop s’impliquer, ou pas assez : la ligne est mince pour aider efficacement les victimes de violence conjugale !
Les parents moins nantis profitent peu des mesures qui leur sont pourtant destinées.
Malgré leurs avantages, les trois mesures phares de la politique familiale québécoise renferment des écueils qui font tomber certains parents entre les craques du système.
La fameuse gentrification crée deux mondes qui se côtoient… sans vraiment se rencontrer.
Rendre publiques les pratiques de procréation assistée protège aussi bien la mère que l’enfant des complications liées à la grossesse ou à l’accouchement.
La politique familiale du Québec est reconnue comme l’une des plus généreuses et accessibles en Amérique du Nord. Pourtant, à l’époque de sa mise en place, la partie n’est pas gagnée d’avance.
Environ 3 % de la population vivra un jour ou l’autre une psychose, généralement entre l’âge de 18 et 35 ans.
Les blessures émotionnelles ne sont que la pointe de l’iceberg de traumatismes complexes, mais leurs conséquences sont réelles et peuvent être à l’origine de troubles de la personnalité.
Perdre définitivement la garde d’un enfant placé par la DPJ : une épreuve bouleversante pour les mères biologiques. Face à ce drame, toutes ne réagissent pas de la même façon.